Gand. Une petite terrasse au soleil sur le chemin du retour. Une verre et un jeu de cartes. Un tarrot belge en réserve. De quoi apprécier cette petite ville typique. En plein travaux actuellement, il faudra un peu de patience pour apprécier l’esthétique de cette petite flamande.
Brugges est une ville classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO, la visite s’impose. Mais quel dommage d’avoir transformé ce centre ville magnifique en un musée vieillissant à ciel ouvert. C’est propre, restauré, calme et surtout vide de vie. Uniquement des touristes, pas un local, pas un petit coin pour boire un coup tranquille. Un si grand potentiel pour un résultat bien triste, semblable à une ville fantôme. Je reste sur ma fin et m’interroge sur l’utilité de classé un tel endroit au patrimoine mondiale.
Anvers et contre toute attente, une surprise aux milles facettes. Pas une rue identique l’une à l’autre, une architecture désordonnée, parfois douteuse mais souvent heureuse. Capitale de la mode, les boutiques osent là où les parisiennes sont finalement d’un classique ennuyeux. On a vite fait d’oublier la rue des diamantaires et son chiffres d’affaire annuel à 28 milliards de dollars (8% du PIB du pays ! ! !). Une ville vraiment attirante où quelques années passées ne seraient pas de refus… Un coup de cœur.
Brugges est une ville classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO, la visite s’impose. Mais quel dommage d’avoir transformé ce centre ville magnifique en un musée vieillissant à ciel ouvert. C’est propre, restauré, calme et surtout vide de vie. Uniquement des touristes, pas un local, pas un petit coin pour boire un coup tranquille. Un si grand potentiel pour un résultat bien triste, semblable à une ville fantôme. Je reste sur ma fin et m’interroge sur l’utilité de classé un tel endroit au patrimoine mondiale.
Anvers et contre toute attente, une surprise aux milles facettes. Pas une rue identique l’une à l’autre, une architecture désordonnée, parfois douteuse mais souvent heureuse. Capitale de la mode, les boutiques osent là où les parisiennes sont finalement d’un classique ennuyeux. On a vite fait d’oublier la rue des diamantaires et son chiffres d’affaire annuel à 28 milliards de dollars (8% du PIB du pays ! ! !). Une ville vraiment attirante où quelques années passées ne seraient pas de refus… Un coup de cœur.
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